Une alimentation déséquilibrée
Les risques de constipation sont favorisés par une consommation insuffisante d’eau ainsi qu’une alimentation pauvre en fibres. La constipation survient également lorsque l’apport en calories est faible, surtout pour les troubles du comportement alimentaire.
Une maladie
Une constipation est souvent la conséquence d’une prise de certains médicaments comme les anticonvulsivants, les antidouleurs, les antidépresseurs ou encore ceux utilisés contre l’acidité gastrique. Si votre traitement est prolongé, n’hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien.
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La colopathie fonctionnelle ou le syndrome de l’intestin irritable peuvent également entrainer une constipation chronique. Généralement, celle-ci est accompagnée de maux de ventre et de ballonnement abdominal.
Comment reconnaître une constipation ?
La fréquence normale de selle dépend d’un individu à un autre. On parle de constipation dès lors que les selles sont trop peu fréquentes et/ou elles sont trop dures. Cela est causé par le fait qu’elles ne progressent pas suffisamment vite dans le gros intestin. La constipation est souvent associée à des douleurs au niveau du ventre, des ballonnements abdominaux et des crampes. Heureusement, il est possible d’enrayer cet état par le biais de mesures d’hygiène de vie et diététiques. Eventuellement, vous pouvez envisager des mesures thérapeutiques.
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Chez l’adulte, on parle de constipation dans les cas suivants :
- les selles changent de consistance et deviennent dures. Elles sont difficiles, voire douloureuses, à évacuer. Il arrive également que vous ayez l’impression que vos selles soient peu abondantes et que leur expulsion est incomplète.
- votre rythme habituel pour déféquer est perturbé et est réduit à moins de trois selles par semaine.